supported by 7 fans who also own “Entailed with Misery”
Sur Greyness of a Young Despondency, on sent encore que Damián Antón Ojeda est sur un début de carrière par le côté résolument franc de son black metal dépressif. Ce n'est pas tant la subtilité (et encore que : quand on écoute "Untitled III", il y a de quoi nuancer le propos...) qui est importante que l'authenticité de ce désespoir qui nous est craché à la gueule, encore plus sur "...And Hurting Colors" dont le but est de nous détruire émotionnellement. Un album aussi puissant que douloureux. Jordan Vauvert
supported by 7 fans who also own “Entailed with Misery”
Sadness n'est jamais vraiment accueillant, en tout cas pas au premier abord, surtout quand on pose les yeux sur la pochette de To have ever had, simple ligne électrique frappée par un petit éclair sur un décor jaune/orangé abstrait. Il suffira pourtant d'écouter la piste éponyme pour s'apercevoir que toute l'ambiance est posée, celle d'une tristesse majestueuse qui est en-dehors du langage. "I bloom a bridge" est encore plus mélancolique et fait bourgeonner des ponts musicaux. Une merveille ! Jordan Vauvert
supported by 7 fans who also own “Entailed with Misery”
I've been slowing working my way through Sadness' discography and it's crazy how he makes "depressive" black metal sound so beautiful. It's like the frigidness of early Coldworld mixed with the dreamy and lighter parts of Alcest. This one is the best I've heard from this band so far. Ryan
An outstanding slab of atmospheric black metal, “Sisyphus” cannily blends texture and terror for a gripping final product. Bandcamp New & Notable Aug 7, 2021
Crushing blackened doom from this German band that counterbalances blinding fury with moments of surprising, melancholy melody. Bandcamp New & Notable Jul 8, 2023
The eight tracks on the latest from German black metal band pummel and hiss, working occasional atmospheric moments into the din. Bandcamp New & Notable Mar 12, 2022
supported by 7 fans who also own “Entailed with Misery”
D'une beauté émotionnelle hallucinante. Les hurlements suraigus de Damián arrachent la peau. Les parties instrumentales (assez pléthoriques soit dit en passant) sont superbes, nostalgiques, émouvantes à en pleurer. Et malgré tout ça, Damián ne se contente pas de créer simplement des odes à la tristesse : il s'agit aussi — et peut-être surtout — d'éveiller un sentiment d'empathie face à l'indifférence, surtout sur "Something Hurts...". Une sorte de thérapie qui vise la guérison du mal par le mal. Jordan Vauvert